Transparent Postcards

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jeudi 24 janvier 2013

Sixto & his six strings (Sixto Rodriguez)

Je suis pas allé voir le film.
J'ai été en voir un autre (The Master, beau film de lions et de cages), puis, en rentrant, j'ai retrouvé dans la poche du manteau le magazine gratuit qui n'avait pas pu tenir sa promesse, car je n'étais pas arrivé à temps pour m'ennuyer avant la projection.
Je suis tombé sur l'article deux semaines plus tard, deux paragraphes annonçant la sortie d'un docu sur un gars qui avait vendu six disques aux USA et qui s'ignorait icône en Afrique du Sud, ça m'a suffisamment intrigué pour que je tape son nom dans le google.

Et la mémoire m'est revenue.

A force d'écouter du chou roche teuton, j'avais presque oublié que les années 70 n'avaient pas eu lieu qu'en Allemagne.
Et j'avais presque oublié la beauté toute simple du songwriting.
Ces chansons ont fait tout revenir en bloc, Dylan, Drake, Cohen, Hazlewood, Young (quand il était très young), Clark, Fay, tout y est, mais c'est pas eux c'est Rodriguez, songwriter anonyme touché par la grâce.

















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