Je vais donc vous parler un peu de Stephin Merritt, qui, comme vous allez le constater, est un être aimant intensément.
Je
ne vais pas mesurer TOUTE l'étendue de ses champs magnétiques, non, la
tâche serait immense, il faudrait 69 paragraphes juste pour ses 69 love songs....
Non,
je vais seulement vous parler de sa musique électronique. Et de comment
le jeu d'affinités électives qui la composent la rend profondément
unique.
Ben ouais, jeu, composent, électives, unique, musique
électronique, le calembour vaut deux balles, je sais, merci, mais
puisque c'est vrai de vrai je me l'autorise.
Et si vous avez
besoin de comprendre par vous-mêmes avant de bien vouloir vous laisser
aller à jouer avec la radioactivité, alors jouez EN MÊME TEMPS du Phil Spector, du
Soft Cell, du Jesus and Mary Chain, du Lee Hazlewood, du Vaselines, du Gainsbourg, du
New Order, du Beach Boys, du Smiths, du Brian Eno....laissez baigner vos
oreilles un petit moment là-dedans....voilà, vous commencez à
comprendre, vous pouvez maintenant cliquer sur un des liens ci-dessous.
A vos risques et périls, bien entendu, comme toujours lorsqu'il en va d'amour et de contamination.
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